Son nom latin, qu’on traduit Agrocybe des noyaux, provient de son habitat sur milieu contenant des noyaux de Rosacées (cerises…) : comme le vit en Haute-Saône, René Maire, mycologue qui créa en 1913, cette espèce. Mais on le rencontre, le plus souvent, sur débris ligneux ou fumier avec pailles, sans relation avec des noyaux.
Un champignon peu répandu mais facile à reconnaître avec ses teintes ocre orangé, son pied bulbeux et son odeur cacaotée.
Le Chesnay, parterre, sur bois raméal fragmenté, le 20 septembre 2013.
Agrocybe putaminum - Agrocybe des noyaux
Photo Etienne Varney